Curieux ? Les jeunes Suisses – sur 28 priorités – placent la politique au 25e rang. Mais ils mettent tout en haut la protection de l’environnement et l’égalité des droits femmes-hommes. Au milieu, viendraient – par exemple – le sport, les organisations caritatives, la culture, les activités de jeunesse, les organisations non gouvernementales (sondage Credit Suisse, NZZ am Sonntag, 26 août). Drôle vraiment.
Faut-il s’inquiéter ? Car l’environnement et l’égalité femmes-hommes sont des thèmes dominants de la politique. On y voit Doris Leuthard ou Simonetta Sommaruga. S’y engager, c’est oser de premiers pas en politique. Sport, aide aux défavorisés, culture ou ONG ne sont pas loin. On y croise Guy Parmelin, Alain Berset ou Ignazio Cassis. Et puis, il y faut les finances, l’économie, la recherche, les transports, la diplomatie, l’asile, la défense, etc. On y trouve Ueli Maurer, Johann Schneider-Ammann et les autres. Incontournables.
Mieux ! Les Verts – Verts historiques de Regula Rytz, Verts libéraux de Jürg Grossen – grandissent comme ça. L’environnement leur ouvre le reste. Le PAB de Rudolf Minger, ancêtre de l’UDC de Christoph Blocher, aussi. L’agriculture amorce le tout. Les socialistes – d’Albert Steck à Christian Levrat – de même. La défense des travailleurs annonce l’ensemble. Moins « spécialisé », le PLR de Petra Gössi ? Ou le PDC – ex-conservateur-catholique – de Gerhard Pfister ? Certains leur trouvent-ils des liens privilégiés (employeurs, PME, etc.) ? A voir. Mais y a-t-il meilleure introduction à la politique que l’environnement ou l’égalité femmes-hommes ? Qui dit mieux ?
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Curieux ? Les jeunes Suisses – sur 28 priorités – placent la politique au 25e rang. Mais ils mettent tout en haut la protection de l’environnement et l’égalité des droits femmes-hommes. Au milieu, viendraient – par exemple – le sport, les organisations caritatives, la culture, les activités de jeunesse, les organisations non gouvernementales (sondage Credit Suisse, NZZ am Sonntag, 26 août). Drôle vraiment.
Faut-il s’inquiéter ? Car l’environnement et l’égalité femmes-hommes sont des thèmes dominants de la politique. On y voit Doris Leuthard ou Simonetta Sommaruga. S’y engager, c’est oser de premiers pas en politique. Sport, aide aux défavorisés, culture ou ONG ne sont pas loin. On y croise Guy Parmelin, Alain Berset ou Ignazio Cassis. Et puis, il y faut les finances, l’économie, la recherche, les transports, la diplomatie, l’asile, la défense, etc. On y trouve Ueli Maurer, Johann Schneider-Ammann et les autres. Incontournables.
Mieux ! Les Verts – Verts historiques de Regula Rytz, Verts libéraux de Jürg Grossen – grandissent comme ça. L’environnement leur ouvre le reste. Le PAB de Rudolf Minger, ancêtre de l’UDC de Christoph Blocher, aussi. L’agriculture amorce le tout. Les socialistes – d’Albert Steck à Christian Levrat – de même. La défense des travailleurs annonce l’ensemble. Moins « spécialisé », le PLR de Petra Gössi ? Ou le PDC – ex-conservateur-catholique – de Gerhard Pfister ? Certains leur trouvent-ils des liens privilégiés (employeurs, PME, etc.) ? A voir. Mais y a-t-il meilleure introduction à la politique que l’environnement ou l’égalité femmes-hommes ? Qui dit mieux ?
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