Prévoyance vieillesse. Combat acharné. Avec des hauts et des bas. La preuve.

AVS moins fragile? Le combat pour la Prévoyance vieillesse, dès le début, subit des hauts et des bas. 1931. Une première version de l’AVS échoue. 1947. La deuxième triomphe. Walther Stampfli, Conseiller fédéral PLR, en est le premier « père ». 1959. PSS Hans Peter Tschudi élu. Il en sera le 2e « père ». Sous son règne, l’AVS se consolide. 1972. Peuple et Cantons approuvent le principe des « Trois Piliers ». AVS, Prévoyance professionnelle, Prévoyance individuelle. 1980. La Loi sur la Prévoyance professionnelle obligatoire émerge. PDC Hans Hürlimann au front. Le combat atteint un sommet.

Puis, l’avenir de la Prévoyance vieillesse devient moins sûr. Nouvelles progressions ardues. 1995. La 10e révision de l’AVS est sauvée. PSS Ruth Dreifuss au pouvoir. Pendant des années, aucune autre réforme importante ne passe. Le financement de l’AVS devient un souci majeur. 2019. Un projet combinant réforme fiscale et financement de l’AVS offre de nouvelles ressources. PSS Alain Berset et UDC Ueli Maurer. 2022. Succès serré d’AVS 21 et de la retraite des femmes à 65 ans. Recours des Verts et d’autres. 3 mars 2024. Revanche? L’initiative pour la 13e rente AVS triomphe. La Prévoyance professionnelle, elle, donne des signes de fléchissement. 22 septembre. Tentative de réforme.

C’est dans cette ambiance bigarrée que surgit la correction par l’Office fédéral des Assurances sociales (OFAS) des prévisions pour l’AVS. PSS Elisabeth Baume-Schneider en alerte. Emotion.