Trump, Juncker et Cie. Commerce chahuté. Suisse bousculée. Le GATT, l’OMC.

En péril, l’Organisation mondiale du commerce ? Les menaces de guerres commerciales – avec l’Américain Donald Trump en pointe – sont-elles des saboteuses ? Le Brésilien Roberto Azevedo, tête de l’OMC, sonne l’alerte. Or, l’OMC, qui siège à Genève, est liée à la Suisse. 1947 : son ancêtre le GATT émerge. 1966 : la Suisse adhère. 1995 : le GATT devient OMC. Et la Suisse confirme. Aujourd’hui, l’OMC compte 164 membres. Mais les grands cycles multilatéraux peinent à se conclure. La tendance est grande de revenir aux négociations bilatérales, régionales. Donc, hors OMC.

 

L’Amérique de Donald Trump y ajoute. Cible : l’Union européenne de Jean-Claude Juncker. Mais, ô stupeur, leur rencontre de Washington se passe bien. Promesses sur le soja et le gaz naturel liquéfié, sur des tarifs zéro dans l’industrie (sauf dans l’automobile). La Chine de Xi Jinping est une autre cible de Trump. Le climat est à la bagarre. A Pékin, l’Union et la Chine affirment leur soutien au commerce multilatéral. A Tokyo, l’Union et le Japon de Shinzo Abe concluent un accord libre-échange. Cela dit, ces actes contournent en partie la multilatérale OMC. Larguée, l’OMC ?

 

Et la Suisse ? Pour elle, cette nouvelle donne est inconfortable. Car l’OMC lui est favorable (même si l’OMC, comme le GATT avant elle, conteste ses protections agricoles). Et puis, avec ces nouveaux partenariats entre grands acteurs, le risque est sérieux d’être « oubliée ». Du coup, Johann Schneider-Ammann et d’autres ministres multiplient les percées (ex : Asie centrale, Chine, voir le Mercosur d’Amérique du Sud). Dur combat.

 

 

 

 

 

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En péril, l’Organisation mondiale du commerce ? Les menaces de guerres commerciales – avec l’Américain Donald Trump en pointe – sont-elles des saboteuses ? Le Brésilien Roberto Azevedo, tête de l’OMC, sonne l’alerte. Or, l’OMC, qui siège à Genève, est liée à la Suisse. 1947 : son ancêtre le GATT émerge. 1966 : la Suisse adhère. 1995 : le GATT devient OMC. Et la Suisse confirme. Aujourd’hui, l’OMC compte 164 membres. Mais les grands cycles multilatéraux peinent à se conclure. La tendance est grande de revenir aux négociations bilatérales, régionales. Donc, hors OMC.

 

L’Amérique de Donald Trump y ajoute. Cible : l’Union européenne de Jean-Claude Juncker. Mais, ô stupeur, leur rencontre de Washington se passe bien. Promesses sur le soja et le gaz naturel liquéfié, sur des tarifs zéro dans l’industrie (sauf dans l’automobile). La Chine de Xi Jinping est une autre cible de Trump. Le climat est à la bagarre. A Pékin, l’Union et la Chine affirment leur soutien au commerce multilatéral. A Tokyo, l’Union et le Japon de Shinzo Abe concluent un accord libre-échange. Cela dit, ces actes contournent en partie la multilatérale OMC. Larguée, l’OMC ?

 

Et la Suisse ? Pour elle, cette nouvelle donne est inconfortable. Car la l’OMC lui est favorable (même si l’OMC, comme le GATT avant elle, conteste ses protections agricoles). Et puis, avec ces nouveaux partenariats entre grands acteurs, le risque est sérieux d’être « oubliée ». Du coup, Johann Schneider-Ammann et d’autres ministres multiplient les percées (ex : Asie centrale, Chine, voir le Mercosur d’Amérique du Sud). Dur combat.

 

 

 

 

 

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En péril, l’Organisation mondiale du commerce ? Les menaces de guerres commerciales – avec l’Américain Donald Trump en pointe – sont-elles des saboteuses ? Le Brésilien Roberto Azevedo, tête de l’OMC, sonne l’alerte. Or, l’OMC, qui siège à Genève, est liée à la Suisse. 1947 : son ancêtre le GATT émerge. 1966 : la Suisse adhère. 1995 : le GATT devient OMC. Et la Suisse confirme. Aujourd’hui, l’OMC compte 164 membres. Mais les grands cycles multilatéraux peinent à se conclure. La tendance est grande de revenir aux négociations bilatérales, régionales. Donc, hors OMC.

 

L’Amérique de Donald Trump y ajoute. Cible : l’Union européenne de Jean-Claude Juncker. Mais, ô stupeur, leur rencontre de Washington se passe bien. Promesses sur le soja et le gaz naturel liquéfié, sur des tarifs zéro dans l’industrie (sauf dans l’automobile). La Chine de Xi Jinping est une autre cible de Trump. Le climat est à la bagarre. A Pékin, l’Union et la Chine affirment leur soutien au commerce multilatéral. A Tokyo, l’Union et le Japon de Shinzo Abe concluent un accord libre-échange. Cela dit, ces actes contournent en partie la multilatérale OMC. Larguée, l’OMC ?

 

Et la Suisse ? Pour elle, cette nouvelle donne est inconfortable. Car la l’OMC lui est favorable (même si l’OMC, comme le GATT avant elle, conteste ses protections agricoles). Et puis, avec ces nouveaux partenariats entre grands acteurs, le risque est sérieux d’être « oubliée ». Du coup, Johann Schneider-Ammann et d’autres ministres multiplient les percées (ex : Asie centrale, Chine, voir le Mercosur d’Amérique du Sud). Dur combat.

 

 

 

 

 

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En péril, l’Organisation mondiale du commerce ? Les menaces de guerres commerciales – avec l’Américain Donald Trump en pointe – sont-elles des saboteuses ? Le Brésilien Roberto Azevedo, tête de l’OMC, sonne l’alerte. Or, l’OMC, qui siège à Genève, est liée à la Suisse. 1947 : son ancêtre le GATT émerge. 1966 : la Suisse adhère. 1995 : le GATT devient OMC. Et la Suisse confirme. Aujourd’hui, l’OMC compte 164 membres. Mais les grands cycles multilatéraux peinent à se conclure. La tendance est grande de revenir aux négociations bilatérales, régionales. Donc, hors OMC.

 

L’Amérique de Donald Trump y ajoute. Cible : l’Union européenne de Jean-Claude Juncker. Mais, ô stupeur, leur rencontre de Washington se passe bien. Promesses sur le soja et le gaz naturel liquéfié, sur des tarifs zéro dans l’industrie (sauf dans l’automobile). La Chine de Xi Jinping est une autre cible de Trump. Le climat est à la bagarre. A Pékin, l’Union et la Chine affirment leur soutien au commerce multilatéral. A Tokyo, l’Union et le Japon de Shinzo Abe concluent un accord libre-échange. Cela dit, ces actes contournent en partie la multilatérale OMC. Larguée, l’OMC ?

 

Et la Suisse ? Pour elle, cette nouvelle donne est inconfortable. Car la l’OMC lui est favorable (même si l’OMC, comme le GATT avant elle, conteste ses protections agricoles). Et puis, avec ces nouveaux partenariats entre grands acteurs, le risque est sérieux d’être « oubliée ». Du coup, Johann Schneider-Ammann et d’autres ministres multiplient les percées (ex : Asie centrale, Chine, voir le Mercosur d’Amérique du Sud). Dur combat.

 

 

 

 

 

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En péril, l’Organisation mondiale du commerce ? Les menaces de guerres commerciales – avec l’Américain Donald Trump en pointe – sont-elles des saboteuses ? Le Brésilien Roberto Azevedo, tête de l’OMC, sonne l’alerte. Or, l’OMC, qui siège à Genève, est liée à la Suisse. 1947 : son ancêtre le GATT émerge. 1966 : la Suisse adhère. 1995 : le GATT devient OMC. Et la Suisse confirme. Aujourd’hui, l’OMC compte 164 membres. Mais les grands cycles multilatéraux peinent à se conclure. La tendance est grande de revenir aux négociations bilatérales, régionales. Donc, hors OMC.

 

L’Amérique de Donald Trump y ajoute. Cible : l’Union européenne de Jean-Claude Juncker. Mais, ô stupeur, leur rencontre de Washington se passe bien. Promesses sur le soja et le gaz naturel liquéfié, sur des tarifs zéro dans l’industrie (sauf dans l’automobile). La Chine de Xi Jinping est une autre cible de Trump. Le climat est à la bagarre. A Pékin, l’Union et la Chine affirment leur soutien au commerce multilatéral. A Tokyo, l’Union et le Japon de Shinzo Abe concluent un accord libre-échange. Cela dit, ces actes contournent en partie la multilatérale OMC. Larguée, l’OMC ?

 

Et la Suisse ? Pour elle, cette nouvelle donne est inconfortable. Car la l’OMC lui est favorable (même si l’OMC, comme le GATT avant elle, conteste ses protections agricoles). Et puis, avec ces nouveaux partenariats entre grands acteurs, le risque est sérieux d’être « oubliée ». Du coup, Johann Schneider-Ammann et d’autres ministres multiplient les percées (ex : Asie centrale, Chine, voir le Mercosur d’Amérique du Sud). Dur combat.

 

 

 

 

 

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L’Amérique de Donald Trump y ajoute. Cible : l’Union européenne de Jean-Claude Juncker. Mais, ô stupeur, leur rencontre de Washington se passe bien. Promesses sur le soja et le gaz naturel liquéfié, sur des tarifs zéro dans l’industrie (sauf dans l’automobile). La Chine de Xi Jinping est une autre cible de Trump. Le climat est à la bagarre. A Pékin, l’Union et la Chine affirment leur soutien au commerce multilatéral. A Tokyo, l’Union et le Japon de Shinzo Abe concluent un accord libre-échange. Cela dit, ces actes contournent en partie la multilatérale OMC. Larguée, l’OMC ?

 

Et la Suisse ? Pour elle, cette nouvelle donne est inconfortable. Car la l’OMC lui est favorable (même si l’OMC, comme le GATT avant elle, conteste ses protections agricoles). Et puis, avec ces nouveaux partenariats entre grands acteurs, le risque est sérieux d’être « oubliée ». Du coup, Johann Schneider-Ammann et d’autres ministres multiplient les percées (ex : Asie centrale, Chine, voir le Mercosur d’Amérique du Sud). Dur combat.

 

 

 

 

 

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L’Amérique de Donald Trump y ajoute. Cible : l’Union européenne de Jean-Claude Juncker. Mais, ô stupeur, leur rencontre de Washington se passe bien. Promesses sur le soja et le gaz naturel liquéfié, sur des tarifs zéro dans l’industrie (sauf dans l’automobile). La Chine de Xi Jinping est une autre cible de Trump. Le climat est à la bagarre. A Pékin, l’Union et la Chine affirment leur soutien au commerce multilatéral. A Tokyo, l’Union et le Japon de Shinzo Abe concluent un accord libre-échange. Cela dit, ces actes contournent en partie la multilatérale OMC. Larguée, l’OMC ?

 

Et la Suisse ? Pour elle, cette nouvelle donne est inconfortable. Car la l’OMC lui est favorable (même si l’OMC, comme le GATT avant elle, conteste ses protections agricoles). Et puis, avec ces nouveaux partenariats entre grands acteurs, le risque est sérieux d’être « oubliée ». Du coup, Johann Schneider-Ammann et d’autres ministres multiplient les percées (ex : Asie centrale, Chine, voir le Mercosur d’Amérique du Sud). Dur combat.

 

 

 

 

 

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L’Amérique de Donald Trump y ajoute. Cible : l’Union européenne de Jean-Claude Juncker. Mais, ô stupeur, leur rencontre de Washington se passe bien. Promesses sur le soja et le gaz naturel liquéfié, sur des tarifs zéro dans l’industrie (sauf dans l’automobile). La Chine de Xi Jinping est une autre cible de Trump. Le climat est à la bagarre. A Pékin, l’Union et la Chine affirment leur soutien au commerce multilatéral. A Tokyo, l’Union et le Japon de Shinzo Abe concluent un accord libre-échange. Cela dit, ces actes contournent en partie la multilatérale OMC. Larguée, l’OMC ?

 

Et la Suisse ? Pour elle, cette nouvelle donne est inconfortable. Car la l’OMC lui est favorable (même si l’OMC, comme le GATT avant elle, conteste ses protections agricoles). Et puis, avec ces nouveaux partenariats entre grands acteurs, le risque est sérieux d’être « oubliée ». Du coup, Johann Schneider-Ammann et d’autres ministres multiplient les percées (ex : Asie centrale, Chine, voir le Mercosur d’Amérique du Sud). Dur combat.

 

 

 

 

 

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L’Amérique de Donald Trump y ajoute. Cible : l’Union européenne de Jean-Claude Juncker. Mais, ô stupeur, leur rencontre de Washington se passe bien. Promesses sur le soja et le gaz naturel liquéfié, sur des tarifs zéro dans l’industrie (sauf dans l’automobile). La Chine de Xi Jinping est une autre cible de Trump. Le climat est à la bagarre. A Pékin, l’Union et la Chine affirment leur soutien au commerce multilatéral. A Tokyo, l’Union et le Japon de Shinzo Abe concluent un accord libre-échange. Cela dit, ces actes contournent en partie la multilatérale OMC. Larguée, l’OMC ?

 

Et la Suisse ? Pour elle, cette nouvelle donne est inconfortable. Car la l’OMC lui est favorable (même si l’OMC, comme le GATT avant elle, conteste ses protections agricoles). Et puis, avec ces nouveaux partenariats entre grands acteurs, le risque est sérieux d’être « oubliée ». Du coup, Johann Schneider-Ammann et d’autres ministres multiplient les percées (ex : Asie centrale, Chine, voir le Mercosur d’Amérique du Sud). Dur combat.

 

 

 

 

 

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L’Amérique de Donald Trump y ajoute. Cible : l’Union européenne de Jean-Claude Juncker. Mais, ô stupeur, leur rencontre de Washington se passe bien. Promesses sur le soja et le gaz naturel liquéfié, sur des tarifs zéro dans l’industrie (sauf dans l’automobile). La Chine de Xi Jinping est une autre cible de Trump. Le climat est à la bagarre. A Pékin, l’Union et la Chine affirment leur soutien au commerce multilatéral. A Tokyo, l’Union et le Japon de Shinzo Abe concluent un accord libre-échange. Cela dit, ces actes contournent en partie la multilatérale OMC. Larguée, l’OMC ?

 

Et la Suisse ? Pour elle, cette nouvelle donne est inconfortable. Car la l’OMC lui est favorable (même si l’OMC, comme le GATT avant elle, conteste ses protections agricoles). Et puis, avec ces nouveaux partenariats entre grands acteurs, le risque est sérieux d’être « oubliée ». Du coup, Johann Schneider-Ammann et d’autres ministres multiplient les percées (ex : Asie centrale, Chine, voir le Mercosur d’Amérique du Sud). Dur combat.

 

 

 

 

 

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