Sourires et accrochages. Cassis et Parmelin. Berset, Sommaruga, Leuthard.

Quel contraste ! Les 7 Conseillers fédéraux, sur la photo, se sourient. Mais, en séance, ils s’accrochent (« Bund » et « Tages-Anzeiger », 25 juillet). Ce Collège subit un « virage à droite ». En 2015, le départ d’Eveline Widmer-Schlumpf (PBD Grisons) et l’arrivée de Guy Parmelin (UDC Vaud) l’annonce. En 2017, le remplacement de Didier Burkhalter (PLR Neuchâtel) par Ignazio Cassis (PLR Tessin) le confirme. Résultat ? Le quatuor « de droite » – UDC Ueli Maurer et Guy Parmelin, PLR Johann Schneider-Ammann et Ignazio Cassis – s’affirme. Du coup, les socialistes Simonetta Sommaruga et Alain Berset seraient « frustrés », la PDC Doris Leuthard « marginalisée », l’Exécutif « centre-gauche » des années 2007-2015 enterré. Sûr ?

 

Il y a des indices. Voyez la libéralisation des exportations d’armes en zones de conflits. Peut-être l’affaiblissement des mesures d’accompagnement (à la libre-circulation des personnes). Voire un moindre soutien aux réfugiés palestiniens, au développement (ex : en Amérique du Sud). Mais, sur le lien Suisse-Europe, il n’y a pas de majorité « de droite ». Et puis, ce Collège affronte un Parlement bigarré. Conseil national « droitier » ? Conseil des Etats « centriste » ? On surveillera les exportations d’armes, l’aide aux crèches, d’autres. Et les élections approchent. Tout peut se passer.

 

Mieux ! Personne, parmi les possibles « perdants », ne fait mine de sortir du Conseil fédéral. Les socialistes, malgré les « frustrations » prêtées à Simonetta Sommaruga et Alain Berset, ne lâchent pas prise. Le PDC, en dépit de la « marginalisation » présumée de Doris Leuthard, se battra pour garder son siège. Et gare à 2019 !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quel contraste ! Les 7 Conseillers fédéraux, sur la photo, se sourient. Mais, en séance, ils s’accrochent (« Bund » et « Tages-Anzeiger », 25 juillet). Ce Collège subit un « virage à droite ». En 2015, le départ d’Eveline Widmer-Schlumpf (PBD Grisons) et l’arrivée de Guy Parmelin (UDC Vaud) l’annonce. En 2017, le remplacement de Didier Burkhalter (PLR Neuchâtel) par Ignazio Cassis (PLR Tessin) le confirme. Résultat ? Le quatuor « de droite » – UDC Ueli Maurer et Guy Parmelin, PLR Johann Schneider-Ammann et Ignazio Cassis – s’affirme. Du coup, les socialistes Simonetta Sommaruga et Alain Berset seraient « frustrés », la PDC Doris Leuthard « marginalisée », l’Exécutif « centre-gauche » des années 2007-2015 enterré. Sûr ?

 

Il y a des indices. Voyez la libéralisation des exportations d’armes en zones de conflits. Peut-être l’affaiblissement des mesures d’accompagnement (à la libre-circulation des personnes). Voire un moindre soutien aux réfugiés palestiniens, au développement (ex : en Amérique du Sud). Mais, sur le lien Suisse-Europe, il n’y a pas de majorité « de droite ». Et puis, ce Collège affronte un Parlement bigarré. Conseil national « droitier » ? Conseil des Etats « centriste » ? On surveillera les exportations d’armes, l’aide aux crèches, d’autres. Et les élections approchent. Tout peut se passer.

 

Mieux ! Personne, parmi les possibles « perdants », ne fait mine de sortir du Conseil fédéral. Les socialistes, malgré les « frustrations » prêtées à Simonetta Sommaruga et Alain Berset, ne lâchent pas prise. Le PDC, en dépit de la « marginalisation » présumée de Doris Leuthard, se battra pour garder son siège. Et gare à 2019 !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quel contraste ! Les 7 Conseillers fédéraux, sur la photo, se sourient. Mais, en séance, ils s’accrochent (« Bund » et « Tages-Anzeiger », 25 juillet). Ce Collège subit un « virage à droite ». En 2015, le départ d’Eveline Widmer-Schlumpf (PBD Grisons) et l’arrivée de Guy Parmelin (UDC Vaud) l’annonce. En 2017, le remplacement de Didier Burkhalter (PLR Neuchâtel) par Ignazio Cassis (PLR Tessin) le confirme. Résultat ? Le quatuor « de droite » – UDC Ueli Maurer et Guy Parmelin, PLR Johann Schneider-Ammann et Ignazio Cassis – s’affirme. Du coup, les socialistes Simonetta Sommaruga et Alain Berset seraient « frustrés », la PDC Doris Leuthard « marginalisée », l’Exécutif « centre-gauche » des années 2007-2015 enterré. Sûr ?

 

Il y a des indices. Voyez la libéralisation des exportations d’armes en zones de conflits. Peut-être l’affaiblissement des mesures d’accompagnement (à la libre-circulation des personnes). Voire un moindre soutien aux réfugiés palestiniens, au développement (ex : en Amérique du Sud). Mais, sur le lien Suisse-Europe, il n’y a pas de majorité « de droite ». Et puis, ce Collège affronte un Parlement bigarré. Conseil national « droitier » ? Conseil des Etats « centriste » ? On surveillera les exportations d’armes, l’aide aux crèches, d’autres. Et les élections approchent. Tout peut se passer.

 

Mieux ! Personne, parmi les possibles « perdants », ne fait mine de sortir du Conseil fédéral. Les socialistes, malgré les « frustrations » prêtées à Simonetta Sommaruga et Alain Berset, ne lâchent pas prise. Le PDC, en dépit de la « marginalisation » présumée de Doris Leuthard, se battra pour garder son siège. Et gare à 2019 !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quel contraste ! Les 7 Conseillers fédéraux, sur la photo, se sourient. Mais, en séance, ils s’accrochent (« Bund » et « Tages-Anzeiger », 25 juillet). Ce Collège subit un « virage à droite ». En 2015, le départ d’Eveline Widmer-Schlumpf (PBD Grisons) et l’arrivée de Guy Parmelin (UDC Vaud) l’annonce. En 2017, le remplacement de Didier Burkhalter (PLR Neuchâtel) par Ignazio Cassis (PLR Tessin) le confirme. Résultat ? Le quatuor « de droite » – UDC Ueli Maurer et Guy Parmelin, PLR Johann Schneider-Ammann et Ignazio Cassis – s’affirme. Du coup, les socialistes Simonetta Sommaruga et Alain Berset seraient « frustrés », la PDC Doris Leuthard « marginalisée », l’Exécutif « centre-gauche » des années 2007-2015 enterré. Sûr ?

 

Il y a des indices. Voyez la libéralisation des exportations d’armes en zones de conflits. Peut-être l’affaiblissement des mesures d’accompagnement (à la libre-circulation des personnes). Voire un moindre soutien aux réfugiés palestiniens, au développement (ex : en Amérique du Sud). Mais, sur le lien Suisse-Europe, il n’y a pas de majorité « de droite ». Et puis, ce Collège affronte un Parlement bigarré. Conseil national « droitier » ? Conseil des Etats « centriste » ? On surveillera les exportations d’armes, l’aide aux crèches, d’autres. Et les élections approchent. Tout peut se passer.

 

Mieux ! Personne, parmi les possibles « perdants », ne fait mine de sortir du Conseil fédéral. Les socialistes, malgré les « frustrations » prêtées à Simonetta Sommaruga et Alain Berset, ne lâchent pas prise. Le PDC, en dépit de la « marginalisation » présumée de Doris Leuthard, se battra pour garder son siège. Et gare à 2019 !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quel contraste ! Les 7 Conseillers fédéraux, sur la photo, se sourient. Mais, en séance, ils s’accrochent (« Bund » et « Tages-Anzeiger », 25 juillet). Ce Collège subit un « virage à droite ». En 2015, le départ d’Eveline Widmer-Schlumpf (PBD Grisons) et l’arrivée de Guy Parmelin (UDC Vaud) l’annonce. En 2017, le remplacement de Didier Burkhalter (PLR Neuchâtel) par Ignazio Cassis (PLR Tessin) le confirme. Résultat ? Le quatuor « de droite » – UDC Ueli Maurer et Guy Parmelin, PLR Johann Schneider-Ammann et Ignazio Cassis – s’affirme. Du coup, les socialistes Simonetta Sommaruga et Alain Berset seraient « frustrés », la PDC Doris Leuthard « marginalisée », l’Exécutif « centre-gauche » des années 2007-2015 enterré. Sûr ?

 

Il y a des indices. Voyez la libéralisation des exportations d’armes en zones de conflits. Peut-être l’affaiblissement des mesures d’accompagnement (à la libre-circulation des personnes). Voire un moindre soutien aux réfugiés palestiniens, au développement (ex : en Amérique du Sud). Mais, sur le lien Suisse-Europe, il n’y a pas de majorité « de droite ». Et puis, ce Collège affronte un Parlement bigarré. Conseil national « droitier » ? Conseil des Etats « centriste » ? On surveillera les exportations d’armes, l’aide aux crèches, d’autres. Et les élections approchent. Tout peut se passer.

 

Mieux ! Personne, parmi les possibles « perdants », ne fait mine de sortir du Conseil fédéral. Les socialistes, malgré les « frustrations » prêtées à Simonetta Sommaruga et Alain Berset, ne lâchent pas prise. Le PDC, en dépit de la « marginalisation » présumée de Doris Leuthard, se battra pour garder son siège. Et gare à 2019 !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Il y a des indices. Voyez la libéralisation des exportations d’armes en zones de conflits. Peut-être l’affaiblissement des mesures d’accompagnement (à la libre-circulation des personnes). Voire un moindre soutien aux réfugiés palestiniens, au développement (ex : en Amérique du Sud). Mais, sur le lien Suisse-Europe, il n’y a pas de majorité « de droite ». Et puis, ce Collège affronte un Parlement bigarré. Conseil national « droitier » ? Conseil des Etats « centriste » ? On surveillera les exportations d’armes, l’aide aux crèches, d’autres. Et les élections approchent. Tout peut se passer.

 

Mieux ! Personne, parmi les possibles « perdants », ne fait mine de sortir du Conseil fédéral. Les socialistes, malgré les « frustrations » prêtées à Simonetta Sommaruga et Alain Berset, ne lâchent pas prise. Le PDC, en dépit de la « marginalisation » présumée de Doris Leuthard, se battra pour garder son siège. Et gare à 2019 !