Coronavirus – on freine. Le Conseil fédéral ne maintient pour le 22 mars que la hausse de 5 à 10 personnes des réunions privées. D’autres ouvertures attendront. Terrasses de restaurants. Lieux de culture et de sport. Motif ? Plusieurs chiffres de la pandémie augmentent. Les nouveaux variants inquiètent. Seuls les soins intensifs rassurent. Toutes les pressions de l’extérieur pour alléger les restrictions restent sans effet. Une partie des Cantons. La droite plutôt que le centre ou la gauche. Prochaine étape : le 14 avril. Bref, le Conseil fédéral impose sa loi. C’est-à-dire le ministre PSS Alain Berset et ses 6 collègues. UDC Guy Parmelin et Ueli Maurer. PLR Ignazio Cassis et Karin Keller-Sutter. Centriste Viola Amherd. PSS Simonetta Sommaruga. Qui commande ?
Chine – on équilibre. Le Conseil fédéral hésite-t-il à durcir le ton face à l’Empire de Xi Jinping ? Voyez sa nouvelle stratégie. Ignazio Cassis est au front. Droits humains : le dialogue doit continuer. Voire reprendre. Hong Kong et Xinjiang sont évoqués. Les valeurs de la Suisse, elles, restent intangibles. Investissements de la Chine en Suisse : un contrôle accru, s’il y a lieu, visera tous les investissements étrangers. L’accord de libre-échange de 2013 pourrait produire plus. La Chine est le 3e partenaire. Espionnage chinois : le pouvoir fédéral en est conscient. Vrai : les signes d’une proche détérioration du lien Suisse-Chine ne sont pas très visibles. 1950 : la Suisse de Max Petitpierre noue avec la Chine de Mao Tsé-Toung. Une démocratie avec une dictature. Mais les éclats seront rares. Bizarre ?