Neuchâtel: Yvan Perrin, Conseiller national UDC, va-t-il conquérir l’un des cinq sièges du Gouvernement cantonal? Sa troisième place au premier tour du 28 avril le stimule. Certaines informations touchant sa santé lui nuisent peu
Catégorie : UDC
Blocher tient-il l’UDC? L’initiative Minder du 3 mars fournira un signe.
Christoph Blocher, à 72 ans, tient-il «son» UDC? Le vote fédéral du 3 mars sur l’initiative de Thomas Minder contre les salaires abusifs des managers fournira un signe. A l’UDC, Blocher reste écouté. Avec lui, les délégués rejettent l’initiative Minder et lui préfèrent le contreprojet du Parlement (à 295 contre 160). Mais attention! Cette initiative serait acceptée par les électeurs UDC (67% à 22%) comme par les Suisses en général (65% à 25% ; sondage GFS-SSR du 25 janvier). Rappel: l’initiative Minder – pour les salaires des managers – donne plus de pouvoir aux actionnaires et exige des sanctions
UDC plus conciliante? Brunner, Blocher et Schwander la tirent très à droite.
Toni Brunner, président de l’UDC! Christoph Blocher, âme de l’UDC! Pirmin Schwander, président UDC de l’Action pour une Suisse indépendante et neutre (ASIN)! Les élus les plus «à droite» du Conseil national, ce sont eux. C’est là une trouvaille du dernier classement «gauche-droite» de la Chambre du peuple (Michael Hermann, «Neue Zürcher Zeitung» et «Le Temps», 23 octobre)
Blocher, bientôt 72 ans, veut un comité "pour sauver la Suisse". Son UDC souffre.
Christoph Blocher, à 72 ans le 11 octobre, lance un comité «pour sauver la Suisse» («SonntagsBlick» du 16 septembre). Il luttera contre une adhésion rampante à l’Union européenne (UE)
Rime présidera l’USAM. Sa fidélité à l’UDC de Blocher le met sous pression.
Jean-François Rime – Conseiller national, UDC fribourgeois et industriel du bois – doit devenir cette semaine le premier président romand de l’Union suisse des arts et métiers (USAM), influente association des petites et moyennes entreprises. Il prend peut-être une revanche
Ogi invite Blocher à se retirer. A l’UDC, ces contraires s’écoutent peu.
«Le moment est venu pour Christoph Blocher de se retirer». C’est Adolf Ogi qui le martèle («Le Matin Dimanche» du 8 avril). Entre les deux figures dominantes de l’UDC depuis 30 ans, la lutte d’influence ne cesse jamais
L’UDC reculerait encore. Blocher deviendrait une hypothèque. Mais qui oserait?
Un nouveau déclin guette l’Union démocratique du centre (UDC) de Christoph Blocher et Toni Brunner. Le plus grand parti du pays ne totaliserait plus que 23,7% des voix – contre 28,9% aux élections de 2007 et 26,6% à celles de 2011 (sondage Isopublic, «SonntagsZeitung» et «LeMatinDimanche», 25 mars)
Démissions à l’UDC? Amstutz succède à Baader. Et les blochériens tiennent bon.
Le Bernois Adrian Amstutz prend la tête du groupe UDC au Parlement fédéral. Il succède à Caspar Baader de Bâle-Campagne. Comme lui, Amstutz se situe sur la ligne «dure» définie par le chef-stratège zurichois Christoph Blocher
L’UDC de Blocher ne veut pas entrer dans l’opposition. N’y est-elle pas déjà?
Non, l’UDC – à la suite d’échecs – ne va pas dans l’opposition. Ueli Maurer, unique Conseiller fédéral UDC et chef de la Défense, reste
Widmer-Schlumpf et Berset triomphent. L’UDC de Blocher attaque et s’isole.
Eveline Widmer-Schlumpf, présidente de la Confédération pour 2012! Alain Berset, nouveau Conseiller fédéral! Le Parlement, du coup, confirme la composition du Gouvernement