Où sont les libéraux–radicaux – soit le PLR! – de Didier Burkhalter et Johann Schneider-Ammann? Les créateurs de la Suisse moderne affichent une image plurielle
Catégorie : Libéraux-radicaux
Philipp Müller, président libéral-radical, souffre. Son parcours n’est pas incontesté.
Qui veut être président de parti? Philipp Müller, président des libéraux-radicaux, est à la peine. Des soucis de santé le poussent à réduire ses activités. Il compte renoncer à certains engagements, à déléguer davantage («NZZ am Sonntag» du 8 septembre)
Femmes en colère, perte en Valais: les libéraux-radicaux luttent
Philipp Müller, président du Parti libéral-radical suisse depuis avril 2012, lutte. Le conflit avec les femmes libérales-radicales se durcit. La campagne du 3 mars sur l’article constitutionnel pour la famille l’amplifie (article refusé par une faible majorité de cantons). Le parti dit non, les femmes libérales-radicales disent oui. Une autre divergence touche les quotas de femmes dans l’administration. Des pressions – y compris financières – s’exercent sur la présidente Carmen Walker Späh (une Zurichoise) et la secrétaire générale Claudine Esseiva (une Fribourgeoise). En Valais, l’unique siège libéral-radical au Gouvernement cantonal est conquis par l’UDC Oskar Freysinger. Pour de prochaines élections, tout cela fait souci
Libéraux-radicaux: Philipp Müller, "dur" sur les étrangers, n’est pas que cela.
Philipp Müller présidera-t-il le Parti libéral-radical suisse? Ce Conseiller national argovien est seul candidat à la direction du parti fondateur de la Suisse moderne
Polémique bancaire! Mauvais sondages! Le président Fulvio Pelli évincé?
Fulvio Pelli, président du Parti libéral-radical (PLR), sera-t-il évincé du Conseil national le 23 octobre? Un sondage sonne l’alerte («Giornale del Popolo», 12 octobre). Pelli ne sortirait que troisième sur la liste libérale-radicale du Tessin. Or, le PLR tessinois pourrait perdre l’un de ses trois sièges
23 octobre: perdants, les libéraux-radicaux de Pelli? Une simulation inquiète
Fulvio Pelli, président du Parti libéral-radical (PLR), survivra-t-il aux élections parlementaires du 23 octobre? Le PLR serait perdant. Au Conseil national, son groupe fondrait de 35 à 27 sièges
Fulvio Pelli, en unissant libéraux et radicaux, se fait rassembleur. Quelle exception!
15.07.2008
Fulvio Pelli ! 2008 est une grande année pour le président du Parti radical suisse ! Aujourd’hui, lui et ses alliés lancent un nouveau parti : l’Union libérale radicale. Ce devrait être achevé le 25 octobre. Cette force marque la fusion de deux acteurs historiques, le Parti libéral et le Parti radical. Lors de la création de l’Etat fédéral, l’un représente « le centre », l’autre « la gauche ». Ils se structurent, en 1894 pour les radicaux, en 1913 pour les libéraux. Aujourd’hui, ils se situent au centre-droit – voire à droite. Et ils déclinent. En 1979, les radicaux collectent encore 24% des voix, les libéraux 2,8%. En 2007, ils en sont à 15,8% et 1,9% respectivement. Dès 2003, ils forment un groupe parlementaire fédéral commun. Pendant ce temps, l’Union démocratique du centre monte en flèche (11,6% en 1979, 28,9% en 2007)