Question ! Le Parlement a-t-il raison d’accorder à l’UDC de Toni Brunner et Christoph Blocher deux sièges au Conseil fédéral ? Sa décision du 9 décembre de placer le Vaudois Guy Parmelin et le Zurichois Ueli Maurer est-elle bonne ? Certains s’étonnent de l’usage inchangé par l’UDC d’un ton « dur ». Son assemblée de Wil (SG) frappe la libérale-radicale « Neue Zürcher Zeitung » (du 25 janvier). Or, les libéraux-radicaux sont d’ardents défenseurs d’une présence arithmétique des forces à l’Exécutif. C’est-à-dire 2 UDC (Parmelin, Maurer), 2 socialistes (Simonetta Sommaruga, Alain Berset), 2 libéraux-radicaux (Didier Burkhalter, Johann Schneider-Ammann) et 1 UDC (Doris Leuthard). Cet Exécutif glisse « à droite ». Alors ? Contente, l’UDC de Brunner et Blocher ?Continue reading