Suisse-Turquie : le ton remonte. Le putsch raté contre le président islamo-conservateur de Recep Tayyip Erdogan, la dure répression et le possible rétablissement de la peine de mort sont des signes. Jusqu’à présent, la Suisse de Didier Burkhalter, Ministre libéral-radical des Affaires étrangères, use de retenue. Le Secrétaire d’Etat Yves Rossier confirme. Car la Turquie est perçue comme un facteur de stabilité. Son rôle dans la crise des migrations pèse lourd. Mais la peine de mort, par exemple, pourrait bousculer la donne.Continue reading